L'ASLOCA Genève soutient les candidatures de Christian Dandrès au Conseil national et de Carlo Sommaruga au Conseil des Etats.
«Chacun·e doit pouvoir accéder à un logement abordable, de qualité et assez grand pour que le quotidien soit agréable et que les enfants puissent s’épanouir.»
Depuis 2007 avec mes collègues de la permanence juridique de l’ASLOCA Genève, je défends les locataires, individuellement ou collectivement, avec des associations d’immeuble ou de quartier. Je défends aussi les locataires au Conseil national après l’avoir fait au Grand Conseil (2009-2019). Des conditions de vie dignes, accéder à un logement abordable, de qualité et assez grand pour que le quotidien soit agréable et que les enfants puissent s’épanouir sont mes combats et le coeur de l’action de l'ASLOCA. Notre association a un rôle plus fondamental que jamais à jouer. Les régies et les bailleurs mettent les locataires sous pression, sur le terrain comme au niveau politique. Ils redoublent d’efforts pour majorer et pouvoir majorer plus encore leurs loyers déjà abusifs. Ils nous imposent de sacrifier nos besoins ou désirs pour obtenir un maximum de profits.
Christian Dandrès, 42 ans, PS
«J’exige avec l’ASLOCA davantage de logements abordables et un contrôle automatique et régulier des loyers dans l’intérêt de la grande majorité des Genevoises et Genevois.»
Je me bats aux côtés des locataires depuis plus de trente ans. Pendant près de vingt ans comme avocat-conseil de l’ASLOCA Genève, ensuite comme responsable de l’ASLOCA Genève, puis de l’ASLOCA Romande et aujourd’hui comme président de l’ASLOCA Suisse. En cette qualité, je porte le combat des locataires au Conseil des Etats, où je siège depuis 2019, grâce à votre appui. Alors que le poids cumulé des loyers et des primes d’assurance maladie devient insupportable, l’ensemble de la droite parlementaire, à la botte des milieux immobiliers, ne fait rien. Pour ma part, je m’engage pour stopper les loyers spéculatifs et les hausses abusives. J’exige avec l’ASLOCA davantage de logements abordables et un contrôle automatique et régulier des loyers dans l’intérêt de la grande majorité des Genevoises et Genevois.